Sur ce type de campagnes, vous recevez un message, provenant soi-disant de la Brigade de Protection des Mineurs (BPM). Afin de légitimer son action, l’auteur du message se fait passer pour une personne influente et haut placé au sein de la Police Nationale, par exemple, pour le Commissaire Divisionnaire de la brigade. Aussi, l’escroc associe des noms, réels ou inventés de toutes pièces, pour appuyer sa crédibilité.